Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

livre - Page 10

  • Méditer

    méditation,pleine conscience,attention,éveil,livreExtraits de: Dipa Ma, présence et rayonnement d’une femme bouddhiste , Amy Schmidt, Editions Sully, 2005 (Dipa Ma, the Life and Legacy of a Buddhist Master)

    L’histoire de l’évolution de Dipa Ma est l’archétype du récit de tous les chercheurs spirituels. Les étapes qu’elle décrit –le point de départ, la résolution, les difficultés rencontrées et dépassées, la découverte de l’Eveil et le partage de cet Eveil avec le monde –sont très proches de celles parcourues par le Bouddha lors de sa propre quête. 

     Toute la voie de l’attention tout entière se résume à ceci : quoi que vous fassiez, soyez-en conscient. 

    Elle répétait avec insistance que l’on peut toujours méditer, que la méditation n’est pas séparée de la vie. « Si tu es occupé, considère que cette agitation est ta méditation.. Quand tu fais tes calculs, sache que tu fais des calculs. Méditer, c’est être conscient de ce que l’on fait. Si tu cours vers ton bureau, sois conscient que tu es pressé. Quand tu manges, quand tu mets tes chaussures, tes chaussettes, tes vêtements, tu dois être présent à ce que tu fais, pleinement conscient. Tout cela, c’est de la méditation ! Même quand tu te coupes les ongles, pose ton esprit sur ce que tu fais ; sache que tu es en train de te couper les ongles. »

    « Sur le plan ultime, il n’y a rien à quoi s’attacher dans ce monde, mais nous pouvons faire bon usage de tout. Il ne faut pas rejeter la vie. Elle est là. Et tant qu’elle est là et que nous sommes là, nous pouvons en tirer le meilleur parti. »

    Voici ses 10 leçons de vie :

    Lire la suite

  • Résiliences/Livre

    psychologie, traumatisme, émotions négatives, résilience, livre

    (Photo: L'Atlantique à Edisto Beach, Caroline du Sud)

    Cet ouvrage récent réunit l’apport de quatorze universitaires et praticiens de sept pays au sujet du concept de résilience dans plusieurs domaines : psychologie et psychiatrie, socio-écologie, travail social, réadaptation, éducation, organisation des systèmes, science des matériaux, économie, culture, droit et relations internationales. De là le terme au pluriel Résiliences, Ressemblances dans la diversité.

     "L’origine de ce terme se perd dans la nuit des temps, mais il a été utilisé dans une variété de contextes depuis au moins 2065 ans. Son histoire est riche et variée. Il est passé d’une langue à l’autre, d’un pays et d’une culture à une autre, d’une discipline à une autre. Au cours de ce processus, il a été défini et redéfini". Un chercheur aurait trouvé plus de 225 définitions de la résilience. "Au cours de la Seconde guerre mondiale, la résilience est devenue monnaie courante dans des disciplines comme la psychologie et l’anthropologie. (...) Dans son essence, la résilience est un simple concept. Tout comme un matériau doit être robuste et ductile afin de résister et d’amortir la force qui lui est appliquée, la société, par analogie, doit manifester de la résistance et de l’adaptabilité, et ses membres doivent réagir de la même manière. Le problème est comment un tel état peut être atteint. Holling, l’écologue des systèmes, définissait la résilience en référence à l’homéostasie, la propension d’un système à revenir à l’équilibre. Les systèmes écologiques pourraient le faire si on leur permettait de récupérer après des chocs, si l’échelle temps impliquée n’était pas si longue que celle du changement climatique ou de la montée du niveau des mers, et si les frontières du système étaient fermées. Le problème avec les individus et la société, et davantage avec la nature, est l’absence d’une base pour l’équilibre. Tout est tendanciel. Alors, la meilleure formulation pour la résilience est celle basée sur bondir en avant (bouncing forward) et non pas se remettre (bouncing back) après que le système a reçu un choc. Bien sûr, la physique et les sciences sociales ont remis en question l’utilisation du concept d’équilibre et ce, de manière remarquablement similaire." 

    Lire la suite

  • Think small (2)

    management, livre, cerveau, réflexion

    Après avoir fini la lecture de ce livre, j'ai pensé que ce n'était peut-être pas par hasard que je lui avais consacré un peu de mon temps précieux passé aux Etats-Unis. Venant de France, j'ai encore une fois perçu ce monde comme étant très pragmatique, ayant le culte du travail, respectant l'ordre commun - sans doute une formule efficace qui favorise la cohésion sociale/nationale.

    J'ai choisi plus loin un autre extrait concernant les différents types de motivations de nos actions:  

    If there is one mantra a Freak lives by, it is this: people respond to incentives. As utterly obvious as this point may seem, we are amazed at how frequently people forget it, and how often it leads to their undoing. Understanding the incentives of all the players in a given scenario is a fundamental step in solving any problem. Not that incentives are always so easy to figure out. Different types of incentives –financial, social, moral, legal, and others –push people’s buttons in different directions, in different magnitudes. An incentive that works beautifully in one setting may backfire in another. But if you want to think like a Freak, you must learn to be a master of incentives –the good, the bad, and the ugly.

    Lire la suite

  • Think small

    book, management, brain"Think Like a Freak", veut dire penser de manière plus efficace, plus créative, plus rationnelle aussi. Je viens de découvrir avec plaisir le dernier livre des deux auteurs bien connus par leurs publications précédentes (je ne les connaissais pas) lors de mon actuel séjour à Greenville, en Caroline du Sud. Voici plus loin quelques extraits. 

    To think like a Freak means to think small, not big. (…)..many of us think we know more than we do. It has to do with something we all carry with us everywhere we go, even though we may not consciously think about it: a moral compass. Each of us develop a moral compass (some stronger than others, to be sure) as we make our way through the world. This is for the most part a wonderful thing. Who wants to live in a world where people run around without regard for the difference between right and wrong? But when it comes to solving problems, one of the best way to start is by putting away your moral compass. Why? When you are consumed with the rightness or wrongness of a given issue –whether it’s fracking or gun control or genetically engineered food –it’s easy to lose track of what the issue actually is. A moral compass can convince you that all the answers are obvious (even when they are not); that there is a bright line between right and wrong (when often there isn’t); and, worst, that you are certain you already know everything you know about a subject so you stop to learn more. (…)

    Consider a problem like suicide. It is so morally fraught that we rarely discuss it in public...

     

     

    Lire la suite