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27/07/2013

Cours FR-2013-431-003

La sesion de juillet a eu lieu avec les trois participants qui ont réussi à obtenir une bourse Mobilité Formation auprès de leur agence nationale (Autriche, Espagne, Roumanie), sur les dizaines/centaines de candidats inscrits. Comme d'habitude, le cours les a beaucoup intéressés, par son approche actuelle et culturelle - très, très loin de celle d'un cours de "coaching" sur l'Intelligence Emotionnelle.

Les participants ont reçu dans leurs chemises cartonnées le support du cours, dont les séquences ont été développées à l'aide d'un riche matériel -copies, impressions, dossiers à thème, fiches, questionnaires, tests, extraits de certains ouvrages. Développer ses compétences émotionnelles dans le monde du travail.Support C.pdf (Photos ajoutées à l'Album Activité Cefro en images).


22/07/2013

Notre cerveau



neurobiologie,relations,apprendre,émotions,expériences(Photo personnelle: La cuillette des pommes en famille)

A partir des grandes découvertes de notre époque, un nouveau champ de recherche a pris forme: la neurobiologie interpersonnelle. En grandes lignes, notre cerveau se reconstruit lui-même (construit ses circuits)  à partir de la vie de tous les jours. La manière dont nous choisissons de dépenser les heures irremplaçables de notre vie nous transforme littéralement.Toutes nos relations changent notre cerveau, les plus importantes étant les liens qui nous encouragent, ou qui nous font tomber, parce qu'ils altèrent les circuits délicats qui façonnent nos souvenirs, nos émotions, notre moi. Aujourd'hui on sait, grâce aux imageries cérébrales, que les premiers attachements du bébé mettent leur empreinte sur son cerveau. C'est dans ce point crucial que se forment les modèles (patterns) des comportements de la vie ultérieure, des pensées, du regard sur soi-même, des choix des partenaires de vie. Nous avions l'habitude de penser l'histoire comme ceci: d'abord c'est l'hérédité, après, dans l'enfance, le cerveau se grave de cartes mentales, après quoi nous sommes plus ou moins prêts-finalisés. Or, l'alchimie neuronale continue tout au long de notre vie, au fur et à mesure que nous mûrissons et formons des amitiés, des affaires, succombons à l'amour romantique, choisissons notre âme soeur. Le corps se souvient de la fusion avec la mère, et il cherche son équivalent adulte. Comme les plus sociaux des singes, nous portons en nous un miroir du monde dans lequel chaque relation importante (époux, enfant, ami) façonne le cerveau, qui façonne à son tour nos relations. (...) Les études scientifiques sur la longévité la santé médicale et mentale, le bonheur et la sagesse montrent que les relations de soutien sont la plus ferme prévision de ces attributs pendant notre durée de vie. Les relations d'amour (sens large) modifient le cerveau de manière significative. Notre cerveau sait qui nous sommes, notre système immunitaire sait qui ne nous sommes pas. L'amour (sens large), c'est la meilleure école, mais les taxes sont élevées, et les devoirs sont difficiles. Les scientifiques de l'Université de Californie montrent que les mêmes aires du cerveau qui enregistrent une douleur physique sont activées lorsque quelqu'un est rejeté socialement. Le cerveau change à travers les expériences de notre vie, mais c'est à travers des relations d'amour de toutes sortes -partenaires, enfants, amis proches - que le cerveau et le corps prospèrent réellement. Agréables ou dramatiques, les leçons d'amour laissent une marque profonde. Quand vous êtes avec quelqu'un en qui vous avez confiance, votre cerveau le sait, et il n'a pas besoin de dépenser de l'énergie pour gérer les menaces ou les agents de stress. Au lieu de cela, il peut dépenser son énergie pour apprendre des choses nouvelles ou pour guérir, les portes de sa perception sont grand ouvertes. ( Extraits de l'article de Diane Ackerman, "The Brain on Love", publié dans le New York Times, le 24 mars, 2012)

15/07/2013

L'apprentissage informel


lifelong learning,informel,étudeEtude canadienne publiée par ERIC (Educational Resources Information Center): "New Approaches to Lifelong Learning. Informal Learning of Seniors in Canadian Society" (2003). Le public ciblé est un groupe de 51 seniors canadiens, de 58 à 95 ans, 23 femmes, 28 hommes, tous retraités ou semi-retraités, tous engagés dans des projets d'éducation permanente dans des domaines divers: connaissance de soi, santé, relationnel, philosophie, affaires courantes, justice sociale, spiritualité, arts, informatique, bricolage, généalogie, histoire. La plupart (35) ont dit qu'apprendre avait toujours été important pour eux, 20 ont dit que c'était même vital pour leur survie, d'autres (31) que maintenant apprendre leur demandait plus de temps que dans leur jeunesse, d'autres (11) qu'ils passaient moins de temps maintenant à apprendre qu'auparavant. Ils étaient tous différents comme origine: Anglais, Irlandais, Français, Ecossais, Israélite, Allemand, Hindou, Philippin, Hollandais, Italien, Coréen, Japonais. Certains avaient émigré au Canada, d'autres s'y trouvaient depuis plusieurs générations. 39 vivaient dans leur propre maison, 11 dans des maisons de retraite, un seul chez ses proches. Leur éducation formelle s'étalait du collège au lycée, et à l'université. Ils avaient des professions de base très variées: secrétariat, enseignement, commerce, justice, musique, art, informatique, recherche, physiothérapie, santé, travail social, publicité, fonction publique, projets. 
Presque tous avaient mené plusieurs carrières dans leur vie active (c'est courant en Amérique du Nord). Donc, pendant un an, tous ont été engagés dans des projets d'éducation informelle, et ils ont témoigné de l'impact de cet apprentissage sur leur vie actuelle: enthousiasme, enrichissement, bonheur, joie, bénéfices pour leurs familles et pour leurs amis, mais aussi rester occupé, ce qui maintient la confiance en soi et améliore la santé, partager des informations avec les plus jeunes dans leurs familles, avoir suffisamment de temps pour s'intéresser à leur vrais centres d'intérêts. Même ceux qui étaient en fauteuil roulant, ou avaient des problèmes de santé, ont reconnu que leur état s'était amélioré. 
Cette étude confirme que les gens continuent d'apprendre jusqu'à un âge très avancé, et que surtout la conscience d'être engagés dans des projets (des circonstances de défis) augmente l'Estime de soi. D'après les recherche récentes, c'est le rétrécissement des centres d'intérêts qui est plus important que la détérioration endogène responsable de la chute des capacités et du potentiel. 
 
 

08/07/2013

An agile leader is an agile learner

learner,leader,skills,lifespan learningLeaders with agility begin as agile learners.

Agile learners are just-in-time as well as lifespan learners that thrive on change and have the skills and attributes needed to excel in the virtual corporations of the 21st Century. The Four R's of agile learners: Resourceful, Relationships, Resilient, ResultsNon-agile leaders: don't think stategically, are arrogant, do not build networks, have relationships issues above and below their positions and with peers. Non-agile learners might be conversant in many topics and have excellent verbal skills, but they might not grasp the relevance of a subject, and their verbal skills could be a substitution or even cover for actually doing something and getting results. Non-agile learners might solicit information about a project or deliverable but could be unable to discern the meaning of the information they get and turn it into meaningful results. Agile learners can generalize but also look for specificity and think in those terms when considering a project or course of action; non-agile learners tend to generalize and might be unable to drill deeper into a subject. Agile learners know how to compare and contrast when presented with choices and different courses of action, non-agile learners might "mingle' the informantion they are given without being able to differentiate good choices from poor ones. Agile learners focus on what needs to be done, and why it's important to get it done. Non-agile learners think in terms of their own tasks and little of what others do; agile learners are aware of their own role in the larger scheme. 

 (Adapted from www.leswoller.com)