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02/05/2016

Et surtout, pas les Américains..

DSC_1892.JPG(Photo: Nice, le Port

Cette note peut être lue sur le blog principal ICI.

11/04/2016

Projet finalisé

10403793_899406623406665_7737978787720204108_o.jpgDans le cadre du programme Erasmus+ KA 102-VET Learner and Staff Mobility, CEFRO a participé avec le Centre de formation KEK Gaia SA Kilkis, Grèce, à la mise en place du projet « Le commerce d’exportation et la communication interculturelle ». En tant qu’organisation d’accueil, CEFRO a proposé et réalisé du 3 au 9 avril, pour un groupe de 14 participants, une activité consistant en: une intervention en salle sur le thème du commerce international et de la compétence de communication interculturelle, deux visites à caractère professionnel (domaine des plantes aromatiques) à l’usine de parfums Fragonard (à Grasse) et au Moulin d’huile d’olives Alziari (à Nice), et une visite culturelle à la Fondation Maeght (à St.Paul de Vence)

Quelques images de cette activité dans l'album ci-joint (clic sur la première photo du diaporama). Celles-ci sont les photos que j'ai prises moi-même, mais les participants m'en enverront d'autres, ils en ont fait beaucoup. Ce fut un excellent projet, admirablement organisé et mis en place par les deux partenaires, CEFRO et KEK Gaia. Les participants ont été enchantés, et les retours que nous avons eus dans les discussions de clôture représentent une satisfaction bien méritée, après des semaines de travail.  

22/03/2016

Le courage de changer (2)

changement extérieur, travail, santé, éducation socio-affective, nouvelles technologies (Photo- A Cimiez)

Changer à l’extérieur

Quand il y a trop de travail, ou quand il n’y en a pas, le stress est toujours présent. Dans les pays occidentaux, le stress provoqué par un travail excessif et frustrant est en nette augmentation. Mais celui qui n’a pas de travail est encore plus déprimé. Il ne s’agit pas seulement d’une question économique. Le chômage tue la libido, le chômeur vit l’absence de travail comme une véritable castration symbolique. Cela est vrai particulièrement dans l’univers anglo-saxon qui met l’accent sur la responsabilité personnelle, alors que le monde latin tend à projeter la responsabilité sur l’extérieur, en faisant par exemple endosser à l’Etat la faute d’un échec personnel. Le chômage suscite chez les hommes des réactions analogues à celles que provoque le viol chez les femmes. Ceux qui perdent leur travail sont impuissants, en colère et souffrent de symptômes dépressifs. On voudrait bien croire que le chômage serait parfois une chance pour apprendre à employer de manière plus créative un temps « libéré » plutôt que « libre » , mais malheureusement, l’expérience clinique semble prouver le contraire : quand le temps libre n’est pas choisi mais imposé, il devient un handicap très lourd, entraînant le manque de confiance en soi et un sentiment de méfiance généralisé. Faut-il comprendre la diminution du travail comme une libération ou comme une condamnation ?

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07/03/2016

Le courage de changer (1)

DSC_1632.JPGJe souhaiterais partager un livre sur le désir et la nécessité de changer, publié en 1999 aux Editions Mondadori sous le titre Il coraggio di cambiare, et dont les auteurs sont un professeur de psychiatrie et un psychologue (Willy Pasini, Donata Francescato, Le Courage de changer, Editions Odile Jacob, 2001).

Il existe des facteurs internes et externes qui favorisent ou freinent le changement que nous souhaitons ou dont nous avons besoin pour nous renouveler. Notre attitude face au changement dépend de notre histoire familiale, des changements qui sont intervenus dans la vie de nos parents, de notre estime de soi et de notre confiance en nous-mêmes. Elle dépend du milieu dans lequel nous vivons, mais aussi de notre environnement social et culturel. Outre les différents sentiments qui peuvent nous animer, ce sont les styles de changement qui varient d’une personne à l’autre. Certains estiment contrôler leur vie: ils projettent, ils planifient, dans l’idée qu’ils ont le pouvoir de décider des événements. A l’opposé, on trouve les fatalistes, qui croient à la chance ou à la malchance, et qui sont persuadés qu’on ne peut agir sur le destin. Et puis, il y a les situations limites, quand le désir d’être l’artisan de sa propre vie se transforme en un délire de puissance, en un besoin obsessionnel et frénétique de contrôler tout et tout le monde, ou bien quand une trop grande passivité conduit à l’irresponsabilité, à l’incapacité à agir, à la résignation et, en dernier ressort, à la paralysie. 

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